Il correspond lors de sa sortie à l’imprimé ordinaire du 3ème échelon (de 50 à 100 grammes).
Seul
Entre le moment de sa sortie en mars 1939 et le changement de tarif du 5 janvier 1942, il affranchit les imprimés du 3ème échelon.
Sur cette bande du Comptoir National d’Escompte de 1939, le timbre est perforé .
Le tarif des échantillons est calqué (sauf pour les envois en nombre pré-oblitérés) sur celui des imprimés. Ici une étiquette pour l’envoi d’une bouteille de sirop en 1939.
Dans ce même tarif du 17 novembre 1938, l’imprimé urgent du 2ème échelon est aussi à 60 centimes (40c pour l’imprimé et 20c pour l’urgence) comme pour cette lettre hors sac de 1940.
A compter du 5 janvier 1942, ce sont les cartes postales avec 5 mots au plus et autres objets de moindre valeur qui sont à 60 centimes.
Cette carte postale envoyée du “camp d’indésirables” de Saint-Sulpice-la-Pointe dans le Tarn en 1942 porte une censure du camp .
Cet autre exemple montre comment la Manufacture de Saint-Étienne utilise la carte postale de cinq mots au plus pour sa correspondance commerciale.
Par deux
La lettre de 20 à 50 grammes du tarif du 17 novembre 1938 coûte 1,20 franc.
Au 5 janvier 1942, la carte postale ordinaire correspond à deux timbres.
Dans le même tarif les factures sont aussi à 1,20 f.
Par trois
Le tarif du 1er décembre 1939 porte la lettre de 50 à 100 grammes à 1,80 franc.
Par cinq
La lettre recommandée du 1er décembre 1939 correspond à cinq timbres (1 franc pour la lettre et 2 francs pour la recommandation).
Quelques autres exemples d’utilisation :