Les mandats postaux permettant d’envoyer des fonds par la poste ont été créés en 1817.
A la fin des années 30, le service existe toujours et il était possible de d’envoyer de l’argent moyennant une commission dépendant de la somme envoyée. Le destinataire n’avait plus qu’à retirer son argent.
Mis en place à l’origine pour les régions rurale, l’expéditeur pouvait acquitter une «taxe de factage» pour le paiement à domicile.
Cette taxe est fixée à 1F à compter du 12 juillet 1937 comme le montre ce reçu du envoyé d’Ancenis le 5 mars 1940 pour Lagny.
Cette taxe passera à 1,50 franc le 15 janvier 1942
Dans le cas du versement sur un Compte Chèque Postal, une «taxe de versement à compte chèque postal» était appliqué à l’expéditeur.
Le tarif mis en place au 1er octobre 1937 est de 75c jusqu’à 100 francs, 1f jusqu’à 5000 francs puis 2 f au delà.
Cette taxe passera à 1,50 franc le 15 janvier 1942
Dans le cas du versement sur un Compte Chèque Postal, une «taxe de versement à compte chèque postal» était appliqué à l’expéditeur.
Le tarif mis en place au 1er octobre 1937 est de 75c jusqu’à 100 francs, 1f jusqu’à 5000 francs puis 2 f au delà.
Ce mandat du 2 septembre 1939 affranchi avec un 75c brun-rouge (416A) a été envoyé de Versailles pour un CCP de Strasbourg. Il est retourné à l’envoyeur pour une erreur d’adresse. Un tampon au dos précise le motif.
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A compter du 1er décembre 1939, il n’y a plus que 2 échelons de taxe : 1f jusqu’à 5000 francs puis 2 francs au delà.
Ce mandat expédié de Plumelec pour un CCP à paris le 11 janvier 1940 est affranchi par une paire de 50c bleu (414A)
Les données sur ce tarif manquent après le 5 janvier 1942.