Les nuances
Comme il s’agit de la surcharge d’un timbre existant, on rencontre sur le 477 les mêmes nuances que sur le 416A avec une encre plus ou moins foncé.
Des défauts d’impression
Comme sur toutes les autres valeurs on rencontre le timbre de petit format en haut de planche.
Un poil dans intempestif lors de l’impression a provoqué cette chenille :
Des défauts de surcharge
La surcharge a été réalisée à plat sur les planches du 75 centimes.
On rencontre donc des décalages plus ou moins importants relatifs au calage des feuilles sur la presses. Certaines petites fluctuations peuvent provenir des de la taille relative des marges hautes et basses. D’autres sont moins explicables en production courante.
Des décalages importants peuvent conduire à ne plus avoir que les barres ou que les chiffres.
Autre phénomène : le recto-verso.
L’image de la surcharge apparait inversée au dos du timbre. Peut être un raté dans l’alimentation de la presse.
Un piquage improbable
Un double piquage sur une feuille imprimée en typo rotative demande à la feuille une très grande agilité.
Une escroquerie
Quelques marchants New-yorkais on voulu rééditer le coup des surcharges de l’Ile de France. Il ont donc surchargés de façon tout à fait privé un certains nombre de timbres disponibles sur le Bâtiment de ligne Richelieu qui venait d’arriver de Dakar en 1943 et les ont mis en vente.
La légende veut qu’aussitôt après, ils aient jeté le tampon dans l’Hudson. Mais un nouveau stock est apparu après guerre….